Pêle-mêle du vendredi 14 décembre...
14.12.07

La semaine a débuté avec la présentation des mémoires des partis politiques à la commission BT. On dit que la meilleure présentation, la plus minutieusement préparée fut celle du Block. Quelque peu éclipsée en importance dans l'espace médiatique par la publication de la sentence dans le dossier de Conrad Black.
Suivit le lendemain par la sentence dans le dossier de filou Lacroix. Qui, celle-ci, attira une abondante couverture des télé et journaux qui a duré trois jours. En même temps les médias nationaux ont profité encore de la manne que produit la comparution de Schreiber devant le comité de l'étique à Ottawa.
Suivit le lendemain de d'autres mémoires devant la commission BT d'organismes intéressés, dont le plus remarqué fut l'étonnante présentation du prèz de la SSJB en faveur du port du hidjab islamiste. Personne ne l'attendait celle-là.
Finalement jeudi fut le tour de Mulroney devant le comité Ottawaiens. L'événement a attiré tellement l'attention des directeurs de l'info qu'on a même eu droit à une retransmission directe à la radio de l'info, tel quel sans traduction. Je ne sais trop, mais quelqu'un aux médias croit que le personnage et son témoignage nous intéresse, du moins une partie du public inconnu. La réalité est que l'événement de la journée, au Bleu, fut la découverte d'une lettre au lecteur de notre ultra fédé favorite, la Sandwichiste. Lettre que nous tenteront d'afficher avant le départ pour les vacances des joyeuses fêtes.
Enfin, le mot d'ordre fut de faire un effort pour écouter la retransmission du dernier forum citoyen de la commission BT, le 21 ième, jeudi soir. Ce qui fut fait, mais introuvables sont ceux qui ont perduré et écouté plus de vingt minutes de témoignages disparates, certains à saveur autre du menu des accommodants.
La sélection de cette semaine... L'ouverture et Loi 101 en rappel, l'astuce progresse, les contradictions du PSQ, la folie islamiste, la bonne nouvelle fiscale…

L'autre ghetto
Je suis les audiences de la commission Bouchard- Taylor depuis ses tout débuts. Comme il fallait s'y attendre, il est beaucoup question de religion, de laïcité et de relations hommes-femmes. (Si j'étais Françoise David, je serais d'ailleurs extrêmement heureuse de voir la percée spectaculaire qu'a faite le féminisme au Québec.)
Mais l'un des thèmes qui revient le plus souvent dans les témoignages est la protection de la langue française.
«Il y a trop d'immigrants qui ne parlent pas français», ont dit plusieurs intervenants.
Effectivement, certaines communautés semblent imperméables à la langue de Molière. Je pense à la communauté indienne ou à la communauté chinoise, par exemple. Il y a quelques mois, je suis allé faire un «vox-pop» dans le quartier chinois de Montréal. Je voulais savoir ce que les gens pensaient des propos de la journaliste Jan Wong, qui avait établi un lien assez tordu entre la tuerie de Polytechnique et la loi 101.
J'ai interviewé des dizaines de Chinois, et seulement deux parlaient français ! Tous les autres parlaient mandarin ou anglais.
Et aucune personne que j'ai interviewée - AUCUNE- n'avait entendu parler de la loi 101 !
Ces gens-là ne vivent pas vraiment au Québec. Ils vivent dans une extension de la Chine. Ils sont comme les Québécois qui jouent au shuffleboard sous le soleil de Floride, avec leur station de radio qui crache du Pier Béland et du Stef Data à longueur de jour...
Derrière le mur
Cela dit, il y a pire que les Chinois du quartier chinois qui regardent la télé chinoise, bouffent de la bouffe chinoise et se font servir en mandarin à la succursale de la Banque Royale... Il y a nos amis les Anglos.
Pourquoi, au lieu de s'acharner sur les nouveaux arrivants, ne parle-t-on pas davantage des anglophones qui sont incapables de dire un traître mot dans notre langue même s'ils sont nés au Québec ?
Ils sont légion. J'en croise régulièrement. Leurs grands-parents sont nés ici, leurs parents sont nés ici, eux sont nés ici, et ils ne savent toujours pas parler français.
C'est bien beau, les Juifs hassidiques qui vivent enfermés dans un ghetto à Saint-Adolphe-d'Howard. Mais le West Island est un ghetto beaucoup plus gros et beaucoup plus révoltant. Des milliers de personnes vivent derrière un mur d'indifférence de 65 pieds de haut, en se foutant totalement de notre culture.
Vous leur parlez de Richard Desjardins - ou vous leur dites que le nouveau ministre de la Culture s'appelle Denis Drolet - et ils vous regardent avec des yeux de merlan frit...
Kumbaya
Parlant de la commission, une autre chose m'agace terriblement : la naïveté des jeunes. Quand je les écoute parler, j'ai l'impression d'assister à un jamboree de jeunes cathos. «Tout le monde il est beau, tout le monde est gentil, vive l'ouverture, la tolérance, l'acceptation, le dialogue, le mélange...»
C'est bien beau, le dialogue, Louis-Pierre Simonet-Bélanger, mais si une musulmane demande à vingt-cinq hommes de sortir d'une piscine publique parce qu'elle veut s'y baigner, tu fais quoi ? Tu «dialogues» avec son mari ?
Autant les xénophobes qui voient des barbares partout m'inquiètent, autant les scouts de l'humanisme interculturel me donnent des boutons. Ils sont les deux faces de la même ignorance...
Richard Martineau
Journal de Montréal - 26/09/2007 07h21
Propos... Ce rappel à son importance. Dans le flot de reportages à propos des immigrants, de leur intégration par la francisation, qui n'est qu'une leurre puisqu'ils sont tous un jour ou l'autre confrontés à la réalité québécoise des «bailingues» de souche que l'on cache, soit apprendre l'anglo-américain pour décrocher un boulot ou le BES, nous avons tous oublié l'anglo-saxon canadian vivant au Québec et à l'abri des effets de la Loi 101.
Nous avons tous oubliés que l'attrait de la deuxième société d’accueil, parallèle et indépendante, les anglo-canadiens québécois qui bénéficient d'une multitude d'institutions parallèles et indépendantes dans leur langue, qu'on y trouve encore des anglo-canadians par légions de plus de 35 ans qui ne comprennent pas plus de dix mots de français. Curieusement, on n'a pas vu ceux-ci devant la commission BT, à part le petit groupe du QCGN.
Pourtant, ils ont leur importance. C'est eux et leur société d'accueil qui intègre, encore aujourd'hui, la majorité des immigrants dont la langue maternelle est autre que le français. Soit 53 %.

Le français progresse
La ministre Christine Saint-Pierre a raison de se réjouir des données du recensement de 2006 portant sur les immigrants et le français.
Oui, la proportion des Québécois ayant le français comme langue maternelle a chuté pour la première fois sous la barre de 80%. Mais ce chiffre cache un fait encore plus important : les immigrants passent clairement au français quand ils s’installent au Québec. La loi 101 semble atteindre son but.
Plus de 51% des allophones (les gens qui ont une langue maternelle autre que le français ou l’anglais) parlent maintenant le français à la maison, comparativement à 39% en 1996. C’est significatif.
Mieux encore : loin de menacer la survie de l'héritage québécois, les immigrants renforcent le français au Québec. Notamment parce que le Québec choisit les deux tiers de ses immigrants, et qu'il les choisit dans des pays francophones comme le Maroc, l'Algérie, la France ou le Liban, par exemple.
Nos amis francos du reste du Canada ont moins de raisons de se réjouir : ils s’assimilent plus que jamais à la masse anglophone. Et les Canadiens, puisqu’on en parle, sont de moins en moins bilingues. What's new ?
Marco Fortier
129 commentaires 22:55 pm,
Propos... L'astuce de ce court extrait du chroniqueur Marco Fortier consiste à omettre une subtilité importante. L'augmentation des immigrants qui parlent français à la maison, sans être de langue maternelle «français ou l’anglais» (sic), est constituée principalement d'immigrants dont la culture n'est pas française. Mais arabe, africaine et créole. Et donc qu'ils n'ont pas une appartenance française, mais autre.
Cela veut dire que la culture française vient d'en prendre un coup et devient minoritaire à Montréal. Et, comme tous les autres immigrants, leurs enfants seront obligés d'apprendre l'anglo-américain à l'école française et les adultes devront s'intégrer aux «bailingue», comme les québécois de souche, pour décrocher un emploi à Montréal. Il s'agit donc d'allophones «bailingues» en plus de leur langue maternelle.
Le titre aurait du dire «Le français progresse à la maison...». Car à l'extérieur de la maison le «bailingue» sera la langue commune. Comme dans les cas des immigrants italiens, chinois, grecs, libanais. Des allophones qui changent de langue selon la langue de celui qui leur adresse la parole.
Si vous êtes sceptique ou réfractaire à cette thèse, vérifiez par association. Vérifiez quel est le pourcentage d'immigrants de langue autre que le français qui adoptent la langue de la majorité au Québec. Selon les chiffres de Gérald Larose c'est 47% adoptent le français et 53% adoptent l'anglo-américain. Cela, peut importe s'il y a 68% de francophones dans la RMR montréalaise et 82% au Québec. Comme quoi, la présence de 8% d'anglophones canadian au Québec attire encore 6 fois plus de transfert linguistique que son poids démographique.
Maintenant faites le calcul. Le nombre d'immigrants sera en hausse, de 40 à 55 milles l'an, pendant 20 ans selon les libéraux. Soit au total un million de nouveaux arrivants. Dans un tel contexte, que peut-on prédire pour l'avenir linguistique ?

Le PLQ et la baisse du français : la minimiser pour mieux régner
Statistique Canada publie aujourd’hui des données plus qu’inquiétantes sur l’état du français au Canada et au Québec et que font les libéraux de Jean Charest ? Ils sortent dans les médias en utilisant une stratégie bien simple : affirmer des propos complètement à l’opposé afin de minimiser l’impact du message que les Québécois reçoivent.
Sauf que là, ils font carrément preuve de culot en tentant une telle manipulation dans un dossier aussi fondamental qu’est celui de la langue officielle du Québec.
Le poids démographique des francophones au pays diminue, la proportion des Québécois dont le français est la langue maternelle passe sous la barre des 80% pour la première fois depuis 1931 et sous les 50% sur l’île de Montréal, et tout ce que la ministre responsable de la Charte de la langue française, Christine Saint-Pierre, trouve à dire est que ce sont de bonnes nouvelles.
Et que fait Yolande James, ministre de l’Immigration ? Elle en remet en disant que les choses vont très bien. Moi, j’appelle ça tromper les Québécois. C’est fou quand on y pense : Jean Charest s’en est sorti dans les médias en disant que c’est le projet de loi sur l’identité québécoise qui est honteux…
Comme le dit Martin Lemay, «ce n’est pas en passant le débat en dessous de la table qu’on va arriver à quelque chose».
http://blogue.pq.org/index.php/2007/12/04/le-plq-et-la-baisse-du-francais-la-minimiser-pour-mieux-regner/
Propos... Quel est la meilleure façon pour un parti politique de confondre les électeurs et se retrouver dans l'opposition ? R... Dire que c'est la faute de l'autre parti, afin que personne ne remarque que c'est la sienne.
Depuis l'ouverture du blogue du PSQ on ne cesse d'y voir des signes que le responsable est un novice qui ne connaît pas les politiques et l'historique du parti lorsqu'il était au gouvernement du Québec. Donc, ne sait trop pourquoi le PSQ a été foutu dans l'opposition en avril 2003.
Un responsable débutant qui n'a manifestement jamais vu et lu le forum politique de la cyberpresse, le forum du Conseil de la Souveraineté, le forum de la Saison des idée, le forum Politiquebec et qui n'a jamais fréquenté l'université Gilles Rhéaume ou Dom Cournoyer, quand les débats de la langue et de l'identité française faisaient rage. Pourtant, il ose utiliser le mot une «stratégie». Ah oui !...
Dans ce domaine de l'état de la langue française du Québec, ce que le recensement de mai 2006 nous indique ce sont les résultats, les progrès et les reculs de 1994 à 2006 aussi. Soit, après 9 ans sous la gouverne du Parti Québécois et 3 ans sous la gouverne du Parti Libéral.
Donc, quel est le parti qui a le plus influencé le résultat de ce recensement ? Les reculs de la culture et de langue française au Québec ?... La baisse et le remplacement des francophones de souche par des immigrants dans l’île de Montréal ?... Un rappel...
Durant les deux mandats du PSQ au gouvernement, de 1994 à 2003, vous souvenez-vous...
- Des deux coupures au budget de l’OLF ?
- De l'annulation de la Commission de la langue française ?
- Du maintient de l'obligation d'apprendre la langue et culture de l'anglo-saxon canadien à l'école française et aux collèges français du Québec, selon les paramètres de l'unité canadian ?
- Du maintient de l'obligation de réussir un examen d'anglo-américain, pour être admis au cégep de langue française ?
- Du déversement dans les bras des centrales syndicales, FTQ CSN CEQ CSD, la responsabilité d'appliquer l'usage du français, selon la Loi 101, sur les lieux de travail ?
- De la poursuite de la politique des deux sociétés d'accueil des immigrants, une française et l'autre de langue et culture anglo-américaine, au Québec ?
- Du renouvellement d'une entente de subvention avec la communautés juive ashkénaze, pour ses écoles et collèges privés de langue anglo-américaine, par le ministre André Boisclair ?
- De l'incapacité d'imposer que la langue des jeux vidéo vendus au Québec soit de même proportion que la démographie. Soit 80% française pour 20% autre, au lieu de l'actuelle 70% anglo-américaine pour 30% française.
- De la déclaration de Bernard Landry à Boston le jeudi 30 août 2001, à l'effet que le Québec est une société « bilingue » ? Comme au New Brunswick.
- D'une subvention de 97 millions accordée à l'unilingue Concordia pour son nouveau pavillon de la gestion Molson, approuvée par Bernard Landry ?
Si tous ces souvenirs semblent brosser un portrait qui soutient des politiques de «bailingues» et «biculturels», à l'image de l'unité canadian, vous avez raison. C'est tout à fait en accord avec les politiques de langue et culture fédéralistes du Parti Libéral.
Ça c'est le portrait des réalisations des membres et du Parti Québécois, tous «bailingues». Pourquoi aujourd'hui sont-ils surpris de la régression et minorisation de la langue et culture française à Montréal et s'attaquent aux libéraux, après y avoir contribué 9 ans sur 12 ans, soit 75% du temps ?
Aucune idée...
Encore aujourd'hui on ne sait même pas pourquoi les péquistes appellent toujours «Yolanda» James par «Yolande» James et «John» Charest par «Jean» Charest, même s'ils sont anglophones. Peut-être parce les péquistes admirent les libéraux, leurs carrières, leurs politiques et leurs succès, tout comme Bernard Landry le faisait.
Pour une réponse plus ample sur les contradictions flagrantes du PSQ, son blogue et ses politiques, il faudra demander aux dix groupes d'indépendantistes. Pourquoi sont-ils en désaccord et opposent les pratiques et les politiques du PSQ.

Battue à mort parce qu'elle refusait de porter le hidjab
Brampton, Ontario
En Ontario, un homme de 57 ans doit comparaître en cour ce mardi, à Brampton, soupçonné d'avoir battu à mort sa propre fille, une adolescente de 16 ans de Mississauga.
Selon des amis de la victime cités par la station radiophonique AM640, de Toronto, celle-ci avait de fréquentes disputes avec son père parce qu'elle refusait de porter le hidjab, le foulard islamique. Il semble qu'elle songeait depuis quelque temps à faire une fugue.
Avant son arrivée au domicile familial, lundi, la police régionale de Peel avait été informée par la centrale d'urgence 911 d'un appel précédent d'un homme qui affirmait avoir tué sa fille.
La jeune fille a rendu l'âme plus tard, à l'hôpital, après avoir été réanimée par des ambulanciers.
Cette nouvelle que je viens de lire dans Cybepresse me révolte, m'attriste et me dégoûte. Cette jeune fille voulait probablement se libérer de la pression qu’exerçait son père pour qu'elle se conforme à la religion musulmane. Elle en a payé de sa vie. Cet homme n'ira sans doute pas en prison, car au Canada la religion prévaut sur la vie. Beau pays ! Après ça, essayez de me convaincre que les femmes ne sont pas obligées de porter ce foulard !
La Presse Canadienne - 11 12 2007
Propos... Triste à mourir. Qui aurait cru voir ça un jour, comme bêtise humaine ? Les adeptes et défenseurs du multiculturalisme et de la liberté de religion n'avaient peut être jamais songé qu'un telle folie se produirait en Ontario, un jour ou l'autre.
Excepté, peut-être, ceux qu'on a récemment étiquetés de huberlus, d'arriérés ou pire. Les conseillers d'Hérouxville et leur code vie. Peut-être ont-ils plutôt agit par vision, prudence et précaution, même si tous se sont moqués d'eux.
Après la constatation de cet événement et en se remémorant les cas récents de problème de hidjab au soccer et au taekwondo, surtout pour des petites filles de 10 à 15 ans, on se demande tous si leur refus d'enlever le voile pour exercer leur sport, n'était pas dû au même type de menaces des adultes, qui les manipulent par la peur de représailles.

Québec maintient l'équilibre budgétaire
Grâce à la bonne performance de l'économie et au faible taux de chômage, Québec réussit à maintenir l'équilibre budgétaire.
En 2007-2008, en vertu des nouvelles règles en vigueur, le déficit budgétaire aurait atteint 663 millions $, mais Québec évite de faire sombrer les finances dans le rouge grâce notamment à des revenus additionnels non prévus de 588 millions $. C'est ce qu'a indiqué la ministre des Finances, Monique Jérôme-Forget, mardi, en rendant publics toute une série de documents visant à faire le point sur l'état de santé des finances publiques et celui de l'économie québécoise, six mois après le dépôt du dernier budget.
Pour 2006-2007, Québec affiche un léger surplus de 109 millions $.
Québec réussit donc à maintenir l'équilibre budgétaire, malgré le fait que le gouvernement devra désormais appliquer à la lettre les principes comptables généralement reconnus (PCGR), conformément aux demandes répétées du Vérificateur général, qui l'an dernier évaluait le déficit réel à plus de 5 milliards $.
La hausse des revenus enregistrée dans les coffres de l'État, conséquence directe des rentrées fiscales plus élevées que prévu grâce à une hausse marquée de la consommation, donne à Québec le feu vert pour annoncer une croissance des dépenses de programmes en 2008-2009, qui passera de 3 pour cent à 3,5 pour cent.
Pendant ce temps, la dette totale du Québec demeure très élevée, à 122 milliards $.
Jocelyne Richer
Québec - La Presse Canadienne - Le mardi 11 décembre 2007
Propos… Beau travail Monique !…
Que peut-on dire de plus ?… Les propos de l’opposition n’ont pas été rapportés par les médias et le blogue de l’illustre député Taillon est complètement muet à ce sujet. Tant pis pour l’opposition… Sur ce…
Bonne fin de semaine...
Libellés : Pele-mele
De... sp et al... le... 14.12.07,