Pêle-mêle du vendredi 25 janvier...
25.1.08

Quant même, avec empressement et en dérobant des minutes ici et la, cette semaine on a réussit à colliger ces quelques lettres qui, espérons le, occuperont un peu votre lecture libre de fin de semaine. Entre deux activités sportives, évidemment. En abrégeant...
Cette semaine... Qui sont les américains... Parlez-vous français ?... La parole ou les actes... Madame la Marquise va bien... L'Omerta libérale abrutissante...
Sommes-nous des Américains?
Première manchette de tous les bulletins de nouvelles radio et télé, sans compter les nombreuses analyses de spécialistes. Première page de tous nos journaux, sans compter les nombreux articles de fond des pages intérieures. Depuis plusieurs semaines déjà, mais plus intensément depuis l'Iowa, les Canadiens et les Québécois sont désormais appelés à n'être que des Américains! Déjà les primaires de demain au New-Hampshire occupent le même espace démesuré! Quarante-huit autres États à venir, de même façon! Puis ce sera le congrès des démocrates, puis le congrès des républicains, puis la campagne électorale des deux partis! Ouf! Bon, d'accord, il s'agit de la grande, de la première puissance mondiale! Mais est-il nécessaire de suivre, au jour le jour, durant toute une année, le long processus qui mènera à l'aboutissement du 4 novembre? Et ne me rappelez pas ici que les États-Unis se proposent comme le modèle de toute démocratie humaine! Quand on songe que l'élection qui se prépare coûtera des dizaines, voire des centaines de milliards, on peut penser que la classe politique américaine n'est qu'un fouillis d'investisseurs dont l'âme se mesure en rendements financiers! Et si l'on s'arrête au vol de l'élection de la Floride en 2000, et si l'on considère le grand mensonge des armes de destruction massive pour justifier la guerre d'Irak
Michel Bourque
Varennes - le 7 janvier 2008
Propos… Qui ne sait pas encore que les directeurs de l’info et de la rédac des journaux du Québec sont des éduqués de l’anglo-saxon américain. Ils ne savent plus distinguer entre actualité internationale et locale quand il s’agit des voisins américains. Je ne sais trop, toute cette couverture n’intéresse personne au Bleu. On ne fait que les laisser passer, puis le courant d’air vient rafraîchir l’air ambiant. C’est la conséquence quotidienne de la culture d’Elvis Gratton, du «Think big sti !», je crois.
Pardon, je parle français !
Difficulté à se faire servir en français dans l'ouest de l'île de Montréal, affichage de plus en plus bilingue ou tout simplement unilingue anglais, progression des modes d'emploi en anglais seulement, ambiance musicale anglaise dans plusieurs boutiques ou grands magasins de Montréal, importance accrue de la chanson anglaise à la plupart des chaînes radio du Grand Montréal, recrudescence des noms de commerce à consonance anglaise, etc.
Oui, le français est en nette progression à Montréal et ailleurs, selon quelques chroniqueurs chevronnés. Et dire qu'il y en a parmi eux qui osent affirmer que la loi 101 ne doit pas être retouchée! Mais peuvent-ils me dire ce qu'il nous reste de cette charte de la langue française du 26 août 1977? Quand donc les Québécois cesseront-ils de s'excuser de vivre en français au Québec? Quand donc les Québécois cesseront-ils de s'excuser de simplement d'exister?
Robert Giroux
Lachenaie, le 16 janvier 2008
Propos… C’est vraiment curieux et rigolo à la fois. Les écoles de la Loi 101 transforme les Québécois de souche en bailingues et biculturels, qui n’ont d’autre culture que l’anglo-américaine. À l’image des enfants immigrants qui sont passés de l’école française au collège et à l’université anglo-américaine, Concordia et McGill. Peut-être y a-t-il un début d’explication au questionnement de Robert Giroux dans un article à venir, du JdeM la semaine dernière, dans lequel on explique un phénomène titré par «les francophones s’écrasent». On a hâte de voir passer celui-là.
De la parole aux actes
Depuis plus de 30 ans, nous assistons aux débats entre partisans du fédéralisme et de la souveraineté. Les citoyens en ont marre des débats idéologiques, non pas qu'ils soient moins intéressés par la défense des intérêts du Québec que par la promotion de la langue française, mais parce qu'ils sont fatigués des batailles stériles. Ils souhaitent que l'on passe de la parole aux actes.
Robert Bourassa ne manquait pas de flair politique. Il avait misé sur la souveraineté culturelle, mais personne n'y avait vraiment prêté attention. Gérald Larose présente aujourd'hui à la présidente du Parti québécois une proposition qui se rapproche de ce concept. Cette proposition n'aura cependant de valeur que si elle se fait inclusive de tous les champs d'action du Québec. Il est en effet tout à fait possible à l'intérieur du cadre canadien actuel d'acquérir une plus grande part de souveraineté, à la fois économique, éducative, culturelle, sociale et environnementale. Il faut pour cela poser des gestes concrets et faire place à un débat d'idées plutôt que d'idéologies.
André Bruneau
Québec, le 18 janvier 2008
Propos… Il n’y a pas de doute que les thèses de Gérald Larose ont eu un effet important. On a même vu l’anglophone et écrivain en chef de la presse libérale qualifier ses propositions d’homéopathiques. Cela veut dire que ces thèses ébranlent les fondations fédés des adeptes de l’assimilation par le bailingue et biculturel, si important à imposer pour réussir l’unité canadian des anglo-canadian. C’est une voie certainement intéressante que Gérald propose, pour les débats à venir. Bravo Gérald !…
Loi 101: "Tout va très bien, Madame la Marquise"
On est fédéraliste, à divers degrés, dans la mesure où l'on a cessé d'être Québécois.
La réalité, c'est que la langue française est secondaire, ou plutôt, elle est le signe le plus significatif de notre identité nationale. Qu'un Chinois ou un Haïtien parlent le français n'en font pas pour autant des Québécois. Ce qui fait l'identité québécoise, c'est le rattachement à la fondation française du XVII siècle, que les Fêtes de Québec devraient nous rappeler avec clarté. Le noyau et la substance de cette identité résident dans la population québécoise de souche qui, par consanguinité, par adhésion culturelle et spirituelle, profondément consentie et réinterprétée, définissent l'identité et le caractère spécifique de l'être au monde du Québec.
Aucun immigrant ne peut prétendre au nom de Québécois s'il ne comprend pas cela, et s'il n'accepte pas d'éteindre ses origines en s'assimilant aux Québécois de souche. Le rôle d'un véritable Gouvernement du Québec consisterait à s'affranchir de la condition coloniale créée par la Conquête de 1760, qui est passée intégralement dans la Constitution canadienne, et à imposer à une immigration numériquement raisonnable, des politiques visant à réaliser sa fusion à la population originelle.
Venons-en au fait de la langue.
Tout citoyen informé sait que le français est en déclin à Montréal, et que cela annonce le déclin du français sur l'ensemble du territoire québécois. Tous les chiffres, tous les indicateurs l'indiquent, le confirment. Ce citoyen sait également que le bilinguisme fédéral est un écran de fumée qui détourne l'attention de l'absence réelle du français au Canada et de l'affaiblissement progressif du français au Québec. De l'anglais partout au Québec, des panneaux bilingues dans les Rocheuses, voilà le condensé de la politique d'Ottawa.
Comment un bon fédéraliste s'y prend-il pour continuer à rêver bilingue et français? On en trouve une parfaite illustration dans le journal La Presse.
D'abord, il refusera toutes les données allant à l'encontre de sa foi fédérale, il scrutera les chiffres, les retournera de façon à fausser l'image de la réalité. Il se moquera de toutes les mises en garde adverses en les traitant d'alarmistes, et enfin il invitera à la vigilance des citoyens, comme seul moyen d'action, pour cacher l'impuissance et l'absence de toute volonté sérieuse de la part du Gouvernement pour freiner le déclin du français.
On apprend que la fameuse Loi 101 n'a aucun pouvoir coercitif. La procédure pour dénoncer et obtenir le redressement du mépris du français est longue, complexe et nécessite un effort démesuré pour obtenir une victoire symbolique, une amende insignifiante et aucune sanction réelle et efficace.
Si le Gouvernement du Québec voulait sérieusement le bien du Québec et sa permanence dans l'être français, il n'admettrait sur son territoire en nombre modéré que des immigrants parlant déjà le français, hommes et femmes. Il leur dispenserait des cours de culture étoffés, et contrôlerait leur « intégration » avec exactitude et efficacité. Voudrait-il que l'on parle français dans les commerces, il n'accorderait ses permis d'exploitation qu'après s'être assuré que les demandeurs parlent le français. Y-a-t-il preuve que l'anglais ou une autre langue remplace le français, le permis devrait tout simplement être révoqué, et ce, sur simple constat honnête du fait.
Le mépris du français prend sa source dans la Constitution canadienne, dans le statut des Anglais du Québec. Il faudrait le courage de les réexaminer, et répudier les limites et les contraintes qu'ils imposent au français sur le territoire québécois.
On nous dira que de telles mesures sont contraires à la charte des droits, à la Constitution canadienne, aux décisions de tribunaux extérieurs au service d'Ottawa. Un véritable Gouvernement du Québec devrait avoir la conviction et la force de les dénoncer et de passer outre.
Bref, c'est par le refus d'une légalité coloniale, clairement identifiée et balisée, que passent le salut de l'identité québécoise et de la langue française qui en est l'expression. La preuve historique en a été faite depuis longtemps. Faute de quoi, le Québec glisse d'année en année vers une ontarification de plus en plus marquée. Le français est pratiquement disparu d'Ottawa, l'Outaouais québécois est envahi par une forte immigration anglaise, fruit de l'odieux article 133 de la Constitution de 1867, et de la non moins néfaste clause Canada de la Constitution de 1982.
Le même sort attend le Québec entier.
Hubert Larocque, Gatineau
samedi 19 janvier 2008
Propos… Rien à redire. Les points de vue Charte et constitutionnel sont limpides, ils entravent la prédominance et l’indispensable à la langue et culture française, au Québec. La preuve en est faite chez les immigrants d’autres origines que l’américaine, britannique et australienne qui, à cause de leur adoption de la langue américaine ou anglaise, ne sont pas obligés d’inscrire leurs enfants à l’école française et bénéficient de toutes les instituions crées pour la minorité historique canado-anglais au Québec.
La loi du silence
Il ne faut pas s'étonner de la décision du gouvernement du Québec de garder secrète une étude qui l'obligerait à agir et à se rendre impopulaire auprès de sa clientèle de prédilection, les anglophones et les allophones de l'île de Montréal. Toutefois, ne s'agit-il pas là de l'arbre qui nous cache la forêt, le vrai débat portant plus fondamentalement sur le silence de nos élus au sujet de décisions inexpliquées ou inexplicables lorsque des questions d'intérêt public sont en jeu?
Comment doit-on qualifier ces silences? Attentisme, omission, opportunisme, finasserie, restrictions mentales, hypocrisie, fourberie? Le silence ne serait-il pas devenu la voie en or de l'excuse pour ne pas commettre un pire crime : le mensonge!
«Nous n'avons pas menti cette fois-ci, nous avons juste ajourné, attendant le moment propice pour en parler!» Ce comportement enfantin du « pas vu, pas pris » est impardonnable de la part d'une ancienne journaliste.
À la limite, on peut comprendre qu'un premier ministre « avocat » privilégie le silence, habitué qu'il est à garder secret les confidences de ses clients, ayant, de ce fait, succombé à une vilaine déformation professionnelle.
Mais dans le cas de Christine St-Pierre, une ancienne journaliste, nous nous serions attendues à ce qu'elle fasse preuve du plus haut niveau d'éthique lorsqu'il est question de sujet d'intérêt public.
Qu'elle nous dise la vérité!
Nous avons tous compris que toute vérité n'est pas bonne à dire pour les politiciens, fussent-ils d'anciens journalistes, avocats, syndicalistes, médecins ou leaders étudiants. Les seules règles qui comptent, une fois en politique, sont la ligne de parti et la solidarité ministérielle. À ce titre, toutes les excuses sont devenues bonnes pour nous cacher la vérité et justifier les pires mensonges ; la stabilité, la sécurité et la paix publique étant tout à coup devenus, pour ces anciens modèles de vertu, des priorités ayant préséance sur toutes les valeurs démocratiques qui les ont animés au moment d'entrer en politique active.
Louis Lapointe
Brossard - Le 24 janvier 2008
Propos... Il ne s’agit pas de solidarité ministérielle. Il ne s’agit pas d’excuses pour ne pas perturber la stabilité, la sécurité ou la paix publique. Il s’agit d’une culture libérale du secret, par l’application de l’omerta.
Dont l’objectif final serait d’abrutir le public souverainiste, indépendantiste ou nationaliste, afin qu’ils s’affaiblissent politiquement par l’ignorance. D’ailleurs, c’est par l’ignorance de l’état de colonisé, que l’assimilation du Québécois progresse. Comme c’est par l’obligation de la langue et culture de l’unité canadian que le bailingue et le biculturel remplace la latinité et le français chez les Montréalais de souche française. Dont le maire Gérald Tremblay en est un exemple vivant.
Mais attendons, un peu. Il y a mieux. Il y a d’autres reportages qui semblent indiquer que des secrets libéraux encore plus importants ont été bien camouflés, depuis deux ans. Dont le remplacement et la minorisation des Québécois de langue française sur l’île de Montréal, par un apport plus important d’immigrants d’autres cultures. La directrice de l'OLF qui est une libérale, bien connue des milieux du secret. Et le chef Mario Dumont qui admet avoir été idiotifié par ces secrets libéraux lors du débat sur l'immigration l'automne dernier. Fascinant ! À suivre…
Bonne fin de semaine…
Libellés : Pele-mele
De... sp et al... le... 25.1.08, ,
Pêle-mêle du vendredi 11 janvier...
11.1.08

Autre désolation, à part les amateurs de la télé de TQS en attente d'une déclaration de faillite, les usagés de l'auto pour le travail qui s'appauvrissent de jour en jour avec un prix de l'essence à la hausse. Pourtant, curieux cette fois, il n'y a plus de voix qui s’élèvent pour réclamer des baisses des taxes sur l'essence.
Autre constatation, manque de temps libre pour colliger les pêle-mêle, une entrée en matière et une conclusion plus élaborée. Ce sera pour la prochaine fois.
Cette semaine... L'art de négocier, Les scénarios politiques, Les ballons dumontistes, L'incompétence colossale, La pensée Lauzon.

Comment négocier vos achats chez la Future Shop
Eh oui! On peut négocier sa grosse télé plasma chez Future Shop. Un ancien employé ma contacter pour m’expliquer un peu comment ça fonctionne. Bien sûr le type veut rester anonyme, même moi je ne sais pas son nom. Voici ce qu’il m’a expliqué :
Je peux vous dire qu’au moment de la facturation, le prix coûtant du magasin de chaque article est affiché à l’écran, alors un petit coup d’oeil et le tour est joué! Les explications plus détaillées vous intéressent?
Alors très facile en bas a gauche de l’écran (Ce sont des vieux système basé sur le DOS, alors assez facile à lire même de loin c’est du texte vert sur un fond noir). À chaque articles scannés dans le système, un code apparaît et reste affiché tant que le suivant n’est pas scanné ex: 1410AGHG Ce code veux dire que le profit du magasin est de 14.1% sur cet article en particulier, donc le prix de l’article au cost est PRIX AFFICHÉ/1.41 Il est courant de négocier le prix des articles, les gérants vont autoriser tous les rabais tant que le profit demeure supérieur à un certain minimum (ma mémoire me fait défaut à ce moment-ci)
Sur des ordinateurs le rabais est inexistant, parce que le magasin ne fait que 3-4$ de profit (vraiment!) mais sur un téléviseur le profit peut facilement être de 800-1000$ alors en sachant le prix coûtant vous donne un pouvoir de négociation qui augmente de beaucoup!
Voilà maintenant je vous conseil de garde l’oeil ouvert sur l’écran lorsque vous achetez chez Future Shop!
Fred Fortin
14 Décembre 2007
Propos... Que peut-on dire... Si vous ne saviez pas ça durant les courses des joyeuses fêtes, être attentif ou garder l'oeil ouvert, il est trop tard. Meilleure chance la prochaine fois. Eh eh eh...

Commentaire de: Luc Ménard
@ Marco Fortier et @ Philippe Boucher
M. Fortier. si j'étais vous, je me dissocierais de Michel C. Auger. Alors voici le commentaire que j'ai fait à Auger...qui peut s'appliquer a 95% à celui-ci.
Les scénarios d'élections de Michel C. Auger. Pure fabulation partisane
M. Auger, je vous ai encensé pour la qualité de votre dernier billet. Celui-ci est carrément mauvais. Vos scénarios d'élections ne sont que pure fabulation partisane. Un peu plus auriez vous pu intitulé celui-ci: Je favorise Jean Charest et le PLQ pour gagner les prochaines élections au Québec et je vous invite à voter pour lui et le PLQ.
Mon point de vue sur votre sujet est : Pour le Québec, oui il y aura des élections (avril-mai 2008).
La stratégie de Pauline semble portée ses fruits. Elle va réussir à rallier et réveiller les souverainistes qui n'ont pas été voté aux 2 dernières élections. En plus, elle va rapatrier les brebis qui se sont égarées devant une autonomie adéquiste ressemblant trop à une souveraineté que Mario est totalement incapable de livrer, de réaliser et de matérialiser. Son alliance avec l'establishment financier juif va lui faire mal tôt ou tard. Les souverainistes qui ont voté pour lui sont en train de le larguer pour ça, entre autres. De plus, le « threesome » Harper-Charest-Dumont est consommé. Vincent Marissal a fait un article dernièrement qui illustre la situation actuelle du «threesome» Harper- Charest- Dumont. Il y a un passage du texte de Marissal qui est intéressant et sur lequel j'aimerais m'attarder: je le cite: «On raconte à Ottawa que peu après les élections provinciales de mars, M. Harper a demandé à Mario Dumont s'il pouvait se commettre résolument en faveur du Canada, d'inscrire, donc, son projet autonomiste au sein la fédération. Harper n'aurait pas obtenu la réponse qu'il attendait. Qu'à cela ne tienne, il a décidé de tourner le dos à Jean Charest pour miser sur Mario Dumont.»
Que peut on lire entre les lignes de cette scène d'amour entre Harper et Dumont.
Est il raisonnable de dire que
1. Dumont croit plutôt que dans le cadre de la fédération canadienne actuelle et de la constitution canadienne actuelle, son projet d'autonomie est impossible?
2. le projet d’autonomie du Québec est faisable que dans une situation d'amendement extrêmement majeure de la constitution canadienne, ce qui est quasi impossible à faire.
3. Dumont aussi pourrait prendre un risque de trop se coller à Harper, (n’oublions pas les derniers sondages catastrophique pour l'ADQ. et pourquoi, il a dit non à Harper?
4. qu'il y avait beaucoup de souverainistes dans ses troupes et un Oui à Harper auraient été plus qu'une erreur stratégique.
Au contraire de vous, je crois que l'ADQ et le PLQ se battent pour les mêmes électeurs, les fédéralistes mous, les indécis et dans une moindre mesure les nationalistes mous. Donc, ils risquent de se battre entre eux. Le PLQ vit sur du temps emprunté. L'agonie de Charest est imminente, la cote est trop grosse pour lui.
À Ottawa, les partis vont protégés leurs intérêts. Le PLC a dit dernièrement que c'est la fin bientôt de leurs abstentions de voter sur les propositions du PC, mais qui dit que de ne pas provoquer d'élections pourrait faire l'affaire du NPD ou du BLOC. On fait de la politique à court terme à Ottawa.
Je crois plutôt que c’est celle de Québec pourrait influencer si oui ou non il y aura des élections à Ottawa. Imaginé une Pauline Marois majoritaire ou minoritaire avec un Mario Dumont, opposition officielle. Harper serait plus mal pris.
M. Fortier c'est scandaleux et quasi indécent de favoriser les fédéralistes comme ça..
2007-12-15 14:51:01
Propos... Pures spéculations. Pas sur Michel Auger, le fédéraliste, mais sur les scénarios ADQ et conservateurs.

Les ballons à Dumont
La session parlementaire qui vient tout juste de se terminer à Québec nous aura permis de découvrir la vraie nature de Mario Dumont et de son parti, l'ADQ. À plusieurs reprises, le chef adéquiste nous a montré le manque de profondeur et de rigueur de sa formation politique. En effet, le roi de la clip s'est aussi révélé, cette année, être excellent dans l'art de lancer des ballons politiques sans trop savoir où ils atterriront.
À naviguer au gré des sondages, on court toujours de grands risques puisque l'opinion des Québécois change parfois très rapidement. Ce qui était sensass hier peut être dépassé demain. Dumont a souvent agi avec ses idées comme s'il faisait une mise au jeu au hockey. Il lançait le palet sur la glace et quittait rapidement la patinoire pour éviter de recevoir des coups de bâtons dans les jambes. Or, trop sûr de son affaire, c'est le palet qu'il a reçu en plein front!
Sur le dossier des accommodements raisonnables, Mario Dumont a eu beau s'insurger contre toutes les pratiques déraisonnables qui avaient cours au Québec, il n'a rien fait quand est venu le temps de prouver qu'il était capable de passer de la parole aux actes. Il n'a même pas déposé de mémoire à la commission Bouchard-Taylor! Ça manque un peu de sérieux comme stratégie.
Les bottines ne suivent pas les babines! Lorsqu'il se voit descendre dans les sondages, le chef adéquiste sort aussi des lapins de son chapeau, par exemple les histoires relatives à l'abolition des Commissions scolaires ou le retour des cours de religion à l'école.
Mario Dumont ressemble de plus en plus à sa caricature dans l'émission de Gérard D. Laflaque. Un politicien en peine qui écrit son programme politique dans un Tim Hortons en écoutant les discussions des clients.
Jerry Beaudoin
Lac-Etchemin, le 20 décembre 2007
Propos... Certains propos sont caricaturaux, mais il est vrai que l'absence du dépôt d'un mémoire à la commission BT, laisse le public sans opinion dumontiste dans ce dossier des accommodants religieux. C'est peut-être à cause de l'appartenance canadian du chef et identité bailingue de ses députés.

Une incompétence colossale
Lorsqu'il y a des conditions météorologiques extrêmes, aucune ville ne peut faire des miracles et rétablir la circulation de manière magique. Mais, à Montréal, lorsque le transport et la circulation deviennent difficiles, sinon pénibles, on peut être certain que tout sera mal fait, mal planifié, mal organisé.
Lorsqu'il y a une tempête de neige dépassant théoriquement les bornes de la supposée «normalité», on va entendre des responsables de tout acabit rappeler impérativement qu'il faut davantage utiliser le métro et l'autobus. Un tel appel serait éminemment responsable et profondément avisé si les responsables du déneigement mettaient tout en oeuvre pour que les trottoirs soient praticables et pour qu'il soit relativement facile de se rendre jusqu'aux stations de métro et jusqu'aux arrêts d'autobus.
Mais, à Montréal, rien n'est logique. Colossale est l'incompétence des dirigeants, politiques et administratifs.
Je demeure à deux minutes de marche de la station Georges-Vanier. Il faut monter une légère pente. Or, que s'est-il passé après la tempête ? Pendant quatre ou cinq jours, je devais, à mon âge (64 ans), prendre au moins 10 minutes pour me rendre à ma station habituelle et je devais marcher dans la rue en tenant compte de l'agressivité de moult automobilistes enragés. J'ai vu des personnes âgées rebrousser chemin. De plus, on nous donne comme explication qu'il y a eu, au cours des dernières années, une augmentation de la quantité d'automobiles à Montréal. Si cela est avéré, cela démontre l'incompétence radicale des responsables de la ville, des responsables des gouvernements et des responsables de la STM.
En cette époque de développement dit durable, il faut freiner «l'automobilisation» de notre société. Pour y arriver, il faut un transport collectif efficace, accessible, pas trop coûteux et, si possible, agréable. Nos dirigeants ont lamentablement échoué. Allons-nous les laisser faire pendant encore de nombreuses années?
Jean-Serge Baribeau
Sociologue et «jeune vieillard»
Montréal
jeudi, 27 décembre 2007
Propos... Tous les habitués connaissent l'arnaque. Le truc c'est la publicité. Les gens croient la pub, pas les comptes rendus des usagés d'expérience. Plus les tarifs augmentent, plus le service et sa qualité diminuent. Plus il y a des affiches et géantes, chacune plus laide que la précédente, collées partout sur les murs et escaliers des stations. Et, c'est une offre de transport debout, entassés comme des bêtes aux heures de pointe, sans climatisation. C'est particulièrement ça à la STM. Toujours déficitaire et donc en faillite technique.

Même si la population a toujours dit non à la hausse des tarifs d'électricité (comme à celle des frais de scolarité d'ailleurs), nos gouvernements en font fi, comme d'habitude, afin de satisfaire les intérêts supérieurs des grosses légumes. Ils veulent à tout prix votre bien, et à l'usure ils l'auront, comme toujours.
Récemment, Jean Charest a nommé Joseph Facal à la tête d'une commission sur les tarifs d'électricité sachant fort bien que ce lucide autoproclamé est un ardent partisan des très grosses hausses. Le nommer à cette commission bidon, ou encore Claude Castonguay à celle sur la santé est aussi loufoque que de nommer Vincent Lacroix à la tête de l'Autorité des marchés financiers.
Quand ils proposent d'augmenter les tarifs d'électricité d'environ 60%, ces hypocrites savent bien que le coût réel sera fort différent pour les familles et les entreprises, même s'ils n'en disent rien. En effet, une compagnie ne paie pas de tps et de tvq sur son électricité qui, en plus est déductible de ses impôts à titre de dépense, alors que l'individu doit payer ces taxes sur son électricité, ce qui est une injustice inqualifiable. (car...) il ne peut déduire cette dépense de ses impôts personnels.
Le coût de la Hausse de l'électricité.
Léo-Paul Lauzon
Métro - Paroles - jeudi 3 janvier 2008
Propos... Si vous ne saviez pas, tout comme nous, que l'enseignant Facal a été nommé à une commission d'étude sur les tarifs d'électricité, nous pouvons dire maintenant que les grosses légumes ont trouvé leur jardinier. Et, ne prenez pas la peine de vérifier ça à son blogue, il n'y a rien de ça.
De la dernière hausse des tarifs annoncée il y a un mois, il semble que le pourcentage de 2,9% soit une moyenne. En réalité, à cause des taxes et du fait qu'elle n'est pas déductible de l'impôt pour les familles, les effets de cette hausse seront plutôt l'équivalent de plus 4,4 % pour les résidences et de 1,1 % pour les entreprises.
Considérant que l'HQ a déjà remis 4 milliards au ministère du Revenu au cours des cinq dernières années, est-il nécessaire de dire qu'un monopole d'état peut aussi être un instrument d'extorsion qu'il faut réprimer.
Bonne fin de semaine...
Libellés : Pele-mele
De... sp et al... le... 11.1.08, ,
Pêle-mêle du vendredi 14 décembre...
14.12.07

La semaine a débuté avec la présentation des mémoires des partis politiques à la commission BT. On dit que la meilleure présentation, la plus minutieusement préparée fut celle du Block. Quelque peu éclipsée en importance dans l'espace médiatique par la publication de la sentence dans le dossier de Conrad Black.
Suivit le lendemain par la sentence dans le dossier de filou Lacroix. Qui, celle-ci, attira une abondante couverture des télé et journaux qui a duré trois jours. En même temps les médias nationaux ont profité encore de la manne que produit la comparution de Schreiber devant le comité de l'étique à Ottawa.
Suivit le lendemain de d'autres mémoires devant la commission BT d'organismes intéressés, dont le plus remarqué fut l'étonnante présentation du prèz de la SSJB en faveur du port du hidjab islamiste. Personne ne l'attendait celle-là.
Finalement jeudi fut le tour de Mulroney devant le comité Ottawaiens. L'événement a attiré tellement l'attention des directeurs de l'info qu'on a même eu droit à une retransmission directe à la radio de l'info, tel quel sans traduction. Je ne sais trop, mais quelqu'un aux médias croit que le personnage et son témoignage nous intéresse, du moins une partie du public inconnu. La réalité est que l'événement de la journée, au Bleu, fut la découverte d'une lettre au lecteur de notre ultra fédé favorite, la Sandwichiste. Lettre que nous tenteront d'afficher avant le départ pour les vacances des joyeuses fêtes.
Enfin, le mot d'ordre fut de faire un effort pour écouter la retransmission du dernier forum citoyen de la commission BT, le 21 ième, jeudi soir. Ce qui fut fait, mais introuvables sont ceux qui ont perduré et écouté plus de vingt minutes de témoignages disparates, certains à saveur autre du menu des accommodants.
La sélection de cette semaine... L'ouverture et Loi 101 en rappel, l'astuce progresse, les contradictions du PSQ, la folie islamiste, la bonne nouvelle fiscale…

L'autre ghetto
Je suis les audiences de la commission Bouchard- Taylor depuis ses tout débuts. Comme il fallait s'y attendre, il est beaucoup question de religion, de laïcité et de relations hommes-femmes. (Si j'étais Françoise David, je serais d'ailleurs extrêmement heureuse de voir la percée spectaculaire qu'a faite le féminisme au Québec.)
Mais l'un des thèmes qui revient le plus souvent dans les témoignages est la protection de la langue française.
«Il y a trop d'immigrants qui ne parlent pas français», ont dit plusieurs intervenants.
Effectivement, certaines communautés semblent imperméables à la langue de Molière. Je pense à la communauté indienne ou à la communauté chinoise, par exemple. Il y a quelques mois, je suis allé faire un «vox-pop» dans le quartier chinois de Montréal. Je voulais savoir ce que les gens pensaient des propos de la journaliste Jan Wong, qui avait établi un lien assez tordu entre la tuerie de Polytechnique et la loi 101.
J'ai interviewé des dizaines de Chinois, et seulement deux parlaient français ! Tous les autres parlaient mandarin ou anglais.
Et aucune personne que j'ai interviewée - AUCUNE- n'avait entendu parler de la loi 101 !
Ces gens-là ne vivent pas vraiment au Québec. Ils vivent dans une extension de la Chine. Ils sont comme les Québécois qui jouent au shuffleboard sous le soleil de Floride, avec leur station de radio qui crache du Pier Béland et du Stef Data à longueur de jour...
Derrière le mur
Cela dit, il y a pire que les Chinois du quartier chinois qui regardent la télé chinoise, bouffent de la bouffe chinoise et se font servir en mandarin à la succursale de la Banque Royale... Il y a nos amis les Anglos.
Pourquoi, au lieu de s'acharner sur les nouveaux arrivants, ne parle-t-on pas davantage des anglophones qui sont incapables de dire un traître mot dans notre langue même s'ils sont nés au Québec ?
Ils sont légion. J'en croise régulièrement. Leurs grands-parents sont nés ici, leurs parents sont nés ici, eux sont nés ici, et ils ne savent toujours pas parler français.
C'est bien beau, les Juifs hassidiques qui vivent enfermés dans un ghetto à Saint-Adolphe-d'Howard. Mais le West Island est un ghetto beaucoup plus gros et beaucoup plus révoltant. Des milliers de personnes vivent derrière un mur d'indifférence de 65 pieds de haut, en se foutant totalement de notre culture.
Vous leur parlez de Richard Desjardins - ou vous leur dites que le nouveau ministre de la Culture s'appelle Denis Drolet - et ils vous regardent avec des yeux de merlan frit...
Kumbaya
Parlant de la commission, une autre chose m'agace terriblement : la naïveté des jeunes. Quand je les écoute parler, j'ai l'impression d'assister à un jamboree de jeunes cathos. «Tout le monde il est beau, tout le monde est gentil, vive l'ouverture, la tolérance, l'acceptation, le dialogue, le mélange...»
C'est bien beau, le dialogue, Louis-Pierre Simonet-Bélanger, mais si une musulmane demande à vingt-cinq hommes de sortir d'une piscine publique parce qu'elle veut s'y baigner, tu fais quoi ? Tu «dialogues» avec son mari ?
Autant les xénophobes qui voient des barbares partout m'inquiètent, autant les scouts de l'humanisme interculturel me donnent des boutons. Ils sont les deux faces de la même ignorance...
Richard Martineau
Journal de Montréal - 26/09/2007 07h21
Propos... Ce rappel à son importance. Dans le flot de reportages à propos des immigrants, de leur intégration par la francisation, qui n'est qu'une leurre puisqu'ils sont tous un jour ou l'autre confrontés à la réalité québécoise des «bailingues» de souche que l'on cache, soit apprendre l'anglo-américain pour décrocher un boulot ou le BES, nous avons tous oublié l'anglo-saxon canadian vivant au Québec et à l'abri des effets de la Loi 101.
Nous avons tous oubliés que l'attrait de la deuxième société d’accueil, parallèle et indépendante, les anglo-canadiens québécois qui bénéficient d'une multitude d'institutions parallèles et indépendantes dans leur langue, qu'on y trouve encore des anglo-canadians par légions de plus de 35 ans qui ne comprennent pas plus de dix mots de français. Curieusement, on n'a pas vu ceux-ci devant la commission BT, à part le petit groupe du QCGN.
Pourtant, ils ont leur importance. C'est eux et leur société d'accueil qui intègre, encore aujourd'hui, la majorité des immigrants dont la langue maternelle est autre que le français. Soit 53 %.

Le français progresse
La ministre Christine Saint-Pierre a raison de se réjouir des données du recensement de 2006 portant sur les immigrants et le français.
Oui, la proportion des Québécois ayant le français comme langue maternelle a chuté pour la première fois sous la barre de 80%. Mais ce chiffre cache un fait encore plus important : les immigrants passent clairement au français quand ils s’installent au Québec. La loi 101 semble atteindre son but.
Plus de 51% des allophones (les gens qui ont une langue maternelle autre que le français ou l’anglais) parlent maintenant le français à la maison, comparativement à 39% en 1996. C’est significatif.
Mieux encore : loin de menacer la survie de l'héritage québécois, les immigrants renforcent le français au Québec. Notamment parce que le Québec choisit les deux tiers de ses immigrants, et qu'il les choisit dans des pays francophones comme le Maroc, l'Algérie, la France ou le Liban, par exemple.
Nos amis francos du reste du Canada ont moins de raisons de se réjouir : ils s’assimilent plus que jamais à la masse anglophone. Et les Canadiens, puisqu’on en parle, sont de moins en moins bilingues. What's new ?
Marco Fortier
129 commentaires 22:55 pm,
Propos... L'astuce de ce court extrait du chroniqueur Marco Fortier consiste à omettre une subtilité importante. L'augmentation des immigrants qui parlent français à la maison, sans être de langue maternelle «français ou l’anglais» (sic), est constituée principalement d'immigrants dont la culture n'est pas française. Mais arabe, africaine et créole. Et donc qu'ils n'ont pas une appartenance française, mais autre.
Cela veut dire que la culture française vient d'en prendre un coup et devient minoritaire à Montréal. Et, comme tous les autres immigrants, leurs enfants seront obligés d'apprendre l'anglo-américain à l'école française et les adultes devront s'intégrer aux «bailingue», comme les québécois de souche, pour décrocher un emploi à Montréal. Il s'agit donc d'allophones «bailingues» en plus de leur langue maternelle.
Le titre aurait du dire «Le français progresse à la maison...». Car à l'extérieur de la maison le «bailingue» sera la langue commune. Comme dans les cas des immigrants italiens, chinois, grecs, libanais. Des allophones qui changent de langue selon la langue de celui qui leur adresse la parole.
Si vous êtes sceptique ou réfractaire à cette thèse, vérifiez par association. Vérifiez quel est le pourcentage d'immigrants de langue autre que le français qui adoptent la langue de la majorité au Québec. Selon les chiffres de Gérald Larose c'est 47% adoptent le français et 53% adoptent l'anglo-américain. Cela, peut importe s'il y a 68% de francophones dans la RMR montréalaise et 82% au Québec. Comme quoi, la présence de 8% d'anglophones canadian au Québec attire encore 6 fois plus de transfert linguistique que son poids démographique.
Maintenant faites le calcul. Le nombre d'immigrants sera en hausse, de 40 à 55 milles l'an, pendant 20 ans selon les libéraux. Soit au total un million de nouveaux arrivants. Dans un tel contexte, que peut-on prédire pour l'avenir linguistique ?

Le PLQ et la baisse du français : la minimiser pour mieux régner
Statistique Canada publie aujourd’hui des données plus qu’inquiétantes sur l’état du français au Canada et au Québec et que font les libéraux de Jean Charest ? Ils sortent dans les médias en utilisant une stratégie bien simple : affirmer des propos complètement à l’opposé afin de minimiser l’impact du message que les Québécois reçoivent.
Sauf que là, ils font carrément preuve de culot en tentant une telle manipulation dans un dossier aussi fondamental qu’est celui de la langue officielle du Québec.
Le poids démographique des francophones au pays diminue, la proportion des Québécois dont le français est la langue maternelle passe sous la barre des 80% pour la première fois depuis 1931 et sous les 50% sur l’île de Montréal, et tout ce que la ministre responsable de la Charte de la langue française, Christine Saint-Pierre, trouve à dire est que ce sont de bonnes nouvelles.
Et que fait Yolande James, ministre de l’Immigration ? Elle en remet en disant que les choses vont très bien. Moi, j’appelle ça tromper les Québécois. C’est fou quand on y pense : Jean Charest s’en est sorti dans les médias en disant que c’est le projet de loi sur l’identité québécoise qui est honteux…
Comme le dit Martin Lemay, «ce n’est pas en passant le débat en dessous de la table qu’on va arriver à quelque chose».
http://blogue.pq.org/index.php/2007/12/04/le-plq-et-la-baisse-du-francais-la-minimiser-pour-mieux-regner/
Propos... Quel est la meilleure façon pour un parti politique de confondre les électeurs et se retrouver dans l'opposition ? R... Dire que c'est la faute de l'autre parti, afin que personne ne remarque que c'est la sienne.
Depuis l'ouverture du blogue du PSQ on ne cesse d'y voir des signes que le responsable est un novice qui ne connaît pas les politiques et l'historique du parti lorsqu'il était au gouvernement du Québec. Donc, ne sait trop pourquoi le PSQ a été foutu dans l'opposition en avril 2003.
Un responsable débutant qui n'a manifestement jamais vu et lu le forum politique de la cyberpresse, le forum du Conseil de la Souveraineté, le forum de la Saison des idée, le forum Politiquebec et qui n'a jamais fréquenté l'université Gilles Rhéaume ou Dom Cournoyer, quand les débats de la langue et de l'identité française faisaient rage. Pourtant, il ose utiliser le mot une «stratégie». Ah oui !...
Dans ce domaine de l'état de la langue française du Québec, ce que le recensement de mai 2006 nous indique ce sont les résultats, les progrès et les reculs de 1994 à 2006 aussi. Soit, après 9 ans sous la gouverne du Parti Québécois et 3 ans sous la gouverne du Parti Libéral.
Donc, quel est le parti qui a le plus influencé le résultat de ce recensement ? Les reculs de la culture et de langue française au Québec ?... La baisse et le remplacement des francophones de souche par des immigrants dans l’île de Montréal ?... Un rappel...
Durant les deux mandats du PSQ au gouvernement, de 1994 à 2003, vous souvenez-vous...
- Des deux coupures au budget de l’OLF ?
- De l'annulation de la Commission de la langue française ?
- Du maintient de l'obligation d'apprendre la langue et culture de l'anglo-saxon canadien à l'école française et aux collèges français du Québec, selon les paramètres de l'unité canadian ?
- Du maintient de l'obligation de réussir un examen d'anglo-américain, pour être admis au cégep de langue française ?
- Du déversement dans les bras des centrales syndicales, FTQ CSN CEQ CSD, la responsabilité d'appliquer l'usage du français, selon la Loi 101, sur les lieux de travail ?
- De la poursuite de la politique des deux sociétés d'accueil des immigrants, une française et l'autre de langue et culture anglo-américaine, au Québec ?
- Du renouvellement d'une entente de subvention avec la communautés juive ashkénaze, pour ses écoles et collèges privés de langue anglo-américaine, par le ministre André Boisclair ?
- De l'incapacité d'imposer que la langue des jeux vidéo vendus au Québec soit de même proportion que la démographie. Soit 80% française pour 20% autre, au lieu de l'actuelle 70% anglo-américaine pour 30% française.
- De la déclaration de Bernard Landry à Boston le jeudi 30 août 2001, à l'effet que le Québec est une société « bilingue » ? Comme au New Brunswick.
- D'une subvention de 97 millions accordée à l'unilingue Concordia pour son nouveau pavillon de la gestion Molson, approuvée par Bernard Landry ?
Si tous ces souvenirs semblent brosser un portrait qui soutient des politiques de «bailingues» et «biculturels», à l'image de l'unité canadian, vous avez raison. C'est tout à fait en accord avec les politiques de langue et culture fédéralistes du Parti Libéral.
Ça c'est le portrait des réalisations des membres et du Parti Québécois, tous «bailingues». Pourquoi aujourd'hui sont-ils surpris de la régression et minorisation de la langue et culture française à Montréal et s'attaquent aux libéraux, après y avoir contribué 9 ans sur 12 ans, soit 75% du temps ?
Aucune idée...
Encore aujourd'hui on ne sait même pas pourquoi les péquistes appellent toujours «Yolanda» James par «Yolande» James et «John» Charest par «Jean» Charest, même s'ils sont anglophones. Peut-être parce les péquistes admirent les libéraux, leurs carrières, leurs politiques et leurs succès, tout comme Bernard Landry le faisait.
Pour une réponse plus ample sur les contradictions flagrantes du PSQ, son blogue et ses politiques, il faudra demander aux dix groupes d'indépendantistes. Pourquoi sont-ils en désaccord et opposent les pratiques et les politiques du PSQ.

Battue à mort parce qu'elle refusait de porter le hidjab
Brampton, Ontario
En Ontario, un homme de 57 ans doit comparaître en cour ce mardi, à Brampton, soupçonné d'avoir battu à mort sa propre fille, une adolescente de 16 ans de Mississauga.
Selon des amis de la victime cités par la station radiophonique AM640, de Toronto, celle-ci avait de fréquentes disputes avec son père parce qu'elle refusait de porter le hidjab, le foulard islamique. Il semble qu'elle songeait depuis quelque temps à faire une fugue.
Avant son arrivée au domicile familial, lundi, la police régionale de Peel avait été informée par la centrale d'urgence 911 d'un appel précédent d'un homme qui affirmait avoir tué sa fille.
La jeune fille a rendu l'âme plus tard, à l'hôpital, après avoir été réanimée par des ambulanciers.
Cette nouvelle que je viens de lire dans Cybepresse me révolte, m'attriste et me dégoûte. Cette jeune fille voulait probablement se libérer de la pression qu’exerçait son père pour qu'elle se conforme à la religion musulmane. Elle en a payé de sa vie. Cet homme n'ira sans doute pas en prison, car au Canada la religion prévaut sur la vie. Beau pays ! Après ça, essayez de me convaincre que les femmes ne sont pas obligées de porter ce foulard !
La Presse Canadienne - 11 12 2007
Propos... Triste à mourir. Qui aurait cru voir ça un jour, comme bêtise humaine ? Les adeptes et défenseurs du multiculturalisme et de la liberté de religion n'avaient peut être jamais songé qu'un telle folie se produirait en Ontario, un jour ou l'autre.
Excepté, peut-être, ceux qu'on a récemment étiquetés de huberlus, d'arriérés ou pire. Les conseillers d'Hérouxville et leur code vie. Peut-être ont-ils plutôt agit par vision, prudence et précaution, même si tous se sont moqués d'eux.
Après la constatation de cet événement et en se remémorant les cas récents de problème de hidjab au soccer et au taekwondo, surtout pour des petites filles de 10 à 15 ans, on se demande tous si leur refus d'enlever le voile pour exercer leur sport, n'était pas dû au même type de menaces des adultes, qui les manipulent par la peur de représailles.

Québec maintient l'équilibre budgétaire
Grâce à la bonne performance de l'économie et au faible taux de chômage, Québec réussit à maintenir l'équilibre budgétaire.
En 2007-2008, en vertu des nouvelles règles en vigueur, le déficit budgétaire aurait atteint 663 millions $, mais Québec évite de faire sombrer les finances dans le rouge grâce notamment à des revenus additionnels non prévus de 588 millions $. C'est ce qu'a indiqué la ministre des Finances, Monique Jérôme-Forget, mardi, en rendant publics toute une série de documents visant à faire le point sur l'état de santé des finances publiques et celui de l'économie québécoise, six mois après le dépôt du dernier budget.
Pour 2006-2007, Québec affiche un léger surplus de 109 millions $.
Québec réussit donc à maintenir l'équilibre budgétaire, malgré le fait que le gouvernement devra désormais appliquer à la lettre les principes comptables généralement reconnus (PCGR), conformément aux demandes répétées du Vérificateur général, qui l'an dernier évaluait le déficit réel à plus de 5 milliards $.
La hausse des revenus enregistrée dans les coffres de l'État, conséquence directe des rentrées fiscales plus élevées que prévu grâce à une hausse marquée de la consommation, donne à Québec le feu vert pour annoncer une croissance des dépenses de programmes en 2008-2009, qui passera de 3 pour cent à 3,5 pour cent.
Pendant ce temps, la dette totale du Québec demeure très élevée, à 122 milliards $.
Jocelyne Richer
Québec - La Presse Canadienne - Le mardi 11 décembre 2007
Propos… Beau travail Monique !…
Que peut-on dire de plus ?… Les propos de l’opposition n’ont pas été rapportés par les médias et le blogue de l’illustre député Taillon est complètement muet à ce sujet. Tant pis pour l’opposition… Sur ce…
Bonne fin de semaine...
Libellés : Pele-mele
De... sp et al... le... 14.12.07, ,
Pêle-mêle du vendredi 7 décembre...
7.12.07

Puis... L'audition d'un comité politique d'Ottawa, je ne sais plus de quoi, a entendu le témoignage d'un célèbre personnage du siècle dernier, Schreiber je crois, disant qu'il ne se souvenais plus. Qu'il devait consulter ses dossiers, chez lui. Qui en a presque perdu ses pantalons, entre l'auto et l'entrée de sa résidence.
Puis... La publication par Statcan des données en regard à la langue maternelle et maison, du recensement de mai 2006. Ce fut, comment dire, un déluge de « bonnes nouvelles » semble-t-il, selon l'éducation hybride bailingue, québécoise. De constater que les Montréalais francophones ont perdus quelques 4 points de pourcentage depuis 2001 et sont maintenant minoritaires sur l’île de Montréal. La deuxième plus grande ville de langue française, après Paris, semble-t-il. Minoritaires d'après la thèse de l'exode vers les banlieues et non l'autre thèse, le remplacement des QF par des immigrants. La « bonne nouvelle » dit-on, c'est que la langue «française» maison a progressé chez les allophones Montréalais. Si, vous ne tenez pas compte que l'anglo-américain est aussi obligatoire pour eux, à l'école et au travail, bien sûr.
On en reparlera, nos tableaux de 2001 ne sont pas tous mis à jour avec ces données de 2006. Et, en plus, hier qu'on a repéré une opinion «idiotifiante» type à ce sujet. Celle d'un certain Marco Fortier, connu d'aucun au Bleu, que nous allons confronter avec nos connaissances et nos tableaux.
Puis... Jeudi fut le jour de la grande guignolée des médias. La plus célèbre de tous. La plus énigmatique de tous. Énigmatique parce que, après tous les comptes établis et le montant amassé divulgué, plus personne au Bleu ou de quiconque connu ne peut nous confirmer où vont choir ces denrées et les milliers de dollars en donations. Pas un seul rapport de distribution de l'argent amassé de l'année dernière, quelque 2 millions, semble-t-il. Surtout pas avec vérification signée, en plus. Dans ce cas... Vous pouvez-vous demander qui va empocher les milliers de dollars de ce jeudi. Nous et l'espion des filles, X49, n'avons vu aucune différence dans l'aide de base distribuée par les organismes de charité connus.
Cette semaine... La lettre révélatrice, l'abrutissement média, le deux fois plus lent, les sceptiques confondus, le in memoriam...

Une scène révélatrice
L'autre jour, lors de ma visite annuelle dans la métropole, je suis entré dans le premier magasin sur mon chemin ouvert le soir, la librairie Indigo de la rue Sainte-Catherine. Je ne m'attendais pas à être témoin d'une scène aussi cocasse que révélatrice. Un jeune Québécois demandait à la vendeuse des méthodes de guitare et celle-ci lui répondait systématiquement en anglais. L'échange de cinq minutes s'est entièrement déroulé de cette façon, l'un parlant en français, l'autre ne parlant qu'anglais, sans que quiconque se rende compte de l'absurdité de la situation. C'était ahurissant ! Au rythme où vont les choses, nous ferons-nous bientôt répondre tout autant en espagnol, en arabe ou en chinois ?
Jean-Marie Verret
Varennes le 18 novembre 2007
Propos... Une visite «annuelle», c'est bien, non ? Ce n'est pas absurde du tout. Ce sont des Québécois de souche, surtout des médias fédéralistes et des politiciens libératistes, qui disent que tout va bien linguistiquement. Et aux immigrants qu'il est nécessaire d'apprendre la langue française pour s'intégrer à la société québécoise.
Mais, comme vous le constatez, la deuxième société d'accueil du Québec va bien. Coté culture et commerce de détail le français est inutile, c'est l’anglo-américain qui est d'usage courant. Tel que permis par la fameuse Loi 101. Donc, plus besoin du français encombrant, à Montréal. Tiens... Dites-le à tous les immigrants... Même à la Grande Bibliothèque Nationale dirigée par l’illustre Québécoise française, Lise Bisonnette, servir tous les anglophones dans la langue de George Bush est une politique officielle et affaire courante. Banale, quoi.

Garderies subventionnées : la surfacturation reste courante
Malgré les règles adoptées par le gouvernement du Québec en août 2006, la surfacturation dans les garderies subventionnées est toujours monnaie courante. Radio-Canada a rapporté hier que le ministère de la Famille avait reçu pas moins de 143 plaintes de parents à qui on a demandé une contribution excédentaire illégale pour des services complémentaires.
Le ministère a même émis, la semaine dernière, cinq avis de suspension des subventions à des garderies, à la suite de surfacturation illégale.
Le gouvernement verse une contribution moyenne de 33 $ par jour par enfant aux quelque 1000 centres de la petite enfance (CPE), 14 700 services de garde en milieu familial et 560 garderies privées subventionnées au Québec. Les parents qui obtiennent une place pour leur enfant ne déboursent donc, en théorie, que 7 $ par jour.
Dans certains cas, toutefois, des garderies ont exigé 4 $ supplémentaires par jour, soit quelque 800 $ à 1000 $ par année, à certains parents pour des services allant d’une initiation à la danse en bas âge à un repas supplémentaire. Ces frais étaient même exigés pour des parents qui n’utilisaient pas toutes les heures de garde auxquelles ils avaient droit.
La ministre de la Famille, Michelle Courchesne, affirme être au courant de ces cas. Elle promet qu’à partir d’avril, toutes les garderies privées et tous les centres de la petite enfance devront signer un contrat type avec les parents.
La Presse canadienne
Édition du mardi 27 novembre 2007
Propos... Une nouvelle qui a fait l'actualité du 27 novembre. La difficulté... Le reportage ne dit pas qu'il s'agit de 143 plaintes de parents sur un total de 110,000 enfants en garderie CPE de la CSN. Voyez-vous l’importance ? Encore une preuve que des médias sont dirigés par directeurs et rédacs névrosés de l’intérêt humain, qui nous abrutissent.
Je crois qu'ils ont publiés ça à cause d'une thèse appelée «profilage consommateur». Cibler les idiots qui achètent les produits de leur clients, annonceurs. Dont les concessionnaires d'auto, bigophone mobile, rénovateurs de cuisine, restauration et bouffeurs de cinéma anglo-américain.

Vista : deux fois plus lent que XP
Le nouveau système d'exploitation de Microsoft est loin de rivaliser en vitesse avec son prédécesseur XP, selon des essais comparatifs. Même le très attendu Pack 1 de Windows Vista, qui sortira l'an prochain, n'arrive pas à concurrencer son aîné XP.
Les chercheurs de la firme de développement informatique Devil Mountain Software ont comparé les différents systèmes d'exploitation dans leur laboratoire de Floride. Pour tester la vitesse de Vista, ils ont utilisé une version bêta du Service Pack 1. Équipé ou non du Service Pack 1, Vista a été plus lent que le Service Pack 3 de XP. Le dernier rejeton de la famille Windows a mis plus de 80 secondes pour satisfaire au test, contre 35 secondes pour XP.
Le Pack 1 permet d'améliorer la performance de Vista de seulement 2 secondes. Le test consistait en une série de tâches réalisées sous Microsoft Office 2007. La machine utilisée était un ordinateur Dell XPS M1710, pourvu d'un microprocesseur Core 2 Duo de 2 Ghz et de 1 Gb de mémoire vive.
Un porte-parole de Microsoft a réagi en précisant que le Pack 1 de Vista est «encore en développement», et continuera à évoluer d'ici à sa sortie. Si Vista n'obtenait pas de meilleures performances, il s'agirait d'un nouveau revers pour Vista, alors que de nombreuses entreprises attendent le prochain Pack 1 pour adopter le nouveau système d'exploitation. Un an après son lancement, seules 13% d'entre elles sont passées à Vista. Microsoft a récemment admis que le lancement n'a pas été aussi bon qu'escompté. L'un des vice-présidents de la firme de Redmond a ainsi affirmé que le monde n'était pas prêt à 100% pour Windows Vista. Six mois après son lancement, les ventes de Vista sont près de 60% en-dessous de celles de XP à ses débuts. Microsoft affirme que son nouveau système d'exploitation se vend de mieux en mieux. Microsoft achèvera la commercialisation de XP en juin 2008, alors qu'elle comptait arrêter les ventes dès janvier. La pression exercée par les clients a persuadé Microsoft de reporter l'opération.
D'après CNET News
27 novembre 2007 - 11h28
Propos... Encore un truc de culture anglo-américaine pour vendre une boite de spaghettis indigestibles. Selon la thèse du tout est dans la mise en marché et non dans la qualité du produit, bien sûr. Mais si vous êtes chasseur d'aubaines, je vous signale que les usagés P3, 900 mhz, sont offert ce décembre la moitié prix de l'an dernier. Je songeais à m'amuser un peu, durant les joyeuses fêtes, avec un P4 2.0 ghz et XP usagé, mais pour 50$ de moins je pourrais m'amuser encore plus avec un P3 et W2000. Quel bonheur !

Euro 2008 : encore un France-Italie
Et voilà, on le sentait et c’est arrivé : la France et l’Italie vont se retrouver dans le même groupe à l’Euro 2008 en compagnie des Pays-Bas et des surprenants Roumains. On cherchait un groupe de la mort, on l’a trouvé, c’est le C.
Groupe A : La Suisse, qui co-organise l’épreuve pourra-t-elle accéder à la phase finale ? Malheureusement, j’en doute pour les Helvétiques qui vont côtoyer la République Tchèque (finaliste en 1996 et demi-finaliste en 2004), le Portugal (finaliste en 2004) et la Turquie. Portugais et Tchèques sont au-dessus du lot et devraient s’en tirer malgré tous les efforts de la Suisse, désireuse de montrer un bon visage chez elle.
Pronostic : Portugal, République Tchèque, Suisse, Turquie
Groupe B : Mesdames, messieurs, les Allemands sont favoris pour beaucoup d’experts, ont-ils en plus besoin de chance ? L’Allemagne évoluera dans le groupe B avec l’Autriche (hum,hum), la Croatie et la Pologne. Le groupe allemand est suffisamment solide pour terminer en tête.
Pour la deuxième place, la Croatie possède une chaussure d’avance en raison de son expérience. Mais c’est le moment pour la Pologne de se créer un premier chapitre dans l’histoire du championnat d’Europe.
Pronostic : Allemagne, Croatie, Pologne, Autriche
Groupe C : La rivalité franco-italienne comptera un autre épisode le 17 juin prochain. Ainsi en a décidé le tirage au sort effectué ce matin en Suisse. Comme si cela n’était pas assez accablant pour les deux équipes, des mains innocentes ont décidé de placer les Pays-Bas en compagnie des deux dinosaures du soccer européen. Oui, les Pays-Bas : un sérieux morceau avec les Ruud van Nistelrooy, Arjen Robben et Robin van Persie. Si je compte bien, cela fait trois places pour deux fauteuils. Surtout que la Roumanie, qui a connu d’excellentes qualifications pourrait bien créer une surprise.
Pronostic : Pays-Bas, France, Italie, Roumanie
Groupe D : D’après ce que j’ai pu lire parmi les interventions sur Ballon Rond, l’Espagne vous plaît. Moi aussi. Au menu des Ibériques : Grèce (tenante du titre), Suède et l’invité de la dernière minute : la Russie.
Mais grâce à son duo d’anglais, Cesc Fabregas et Fernando Torres, l’Espagne devrait se faufiler en phase finale. Pour l’accompagner, pourquoi pas les Suédois ? La Suède est toujours là au rendez-vous et compte sur l’un des meilleurs attaquants au monde : Zlatan Ibrahimovic. La Grèce ne me semble pas dans le coup cette année. Quant aux compatriotes d’Alex Kovalev, ils font preuve de beaucoup trop d’inconstance.
Pronostic : Espagne, Suède, Russie, Grèce
Pascal Milano
Ballon rond - Le Dimanche 2 Décembre 2007
Propos... Si vous croyiez que des pronostics six mois d'avance c'est un peu cocorico... Tiens, prenez-ça.
Il semble qu'en juin prochain nous aurons droit à une reprise légère contre nos ennemis éternels, les azzurris. Différente cette fois, car ils auront un autre sélectionneur que le dernier.
Selon le vieux dicton des pêcheurs résidents de Sainte-Dorothée, «là où il n'y a pas d'audace, il n'y a pas de plaisir... ». Bien sûr... Les paris sont... A : Portugal - Turquie - B : Allemagne - Autriche - C : Italie - France - D : Espagne - Russie. Il ne reste plus qu'à attendre que le froid et la neige passent.

Dans la série bien connue, «Ça tombe comme des mouches...» dans la blogosphère, initiée par le divertisseur professionnel de l’intérêt humain, Pat Lagace, cette semaine soulignons la disparition d'un autre blogue politique, oublié le mois dernier. C'est... http://jonathanvalois.blogspot.com/
Comme on dit dans la culture des Vulcains, Vivez longtemps et prospérez, Jonathan ! Et les filles et les gars du Bleu ajoutent... Que la paix et sérénité footistes lui soient éternelles !...
Bonne fin de semaine...
Libellés : Pele-mele
De... sp et al... le... 7.12.07, ,
Pêle-mêle du vendredi 30 novembre...
30.11.07

Elle a débuté non pas avec l'arrivée du géant de l'air A380, mais par l'arrivée à Montréal de l'autre géant de terre cette fois, le BT380. Le géant de l’intérêt humain dont tous les névrosés, directeurs et rédacs des médias raffolent, la commission des accommodants religieux qui heurtent les valeurs historiques de la majorité québécoise de naissance. Accommodants réclamés par l'arrivée d'immigrant de cultures et de religions groupusculaires, très différentes, tel les hindous sikhs. Des réclamations de, non pas de meilleurs conditions d'intégration, mais d'égalité. L'égalité de droits d’une minorité de quelque milles néocanadiens, par rapport à une majorité de quelques millions de langue française et de religion chrétienne de naissance.
Entre les deux, il y eu des constats. Des constats d'un certain psychique, manière de procéder, de cas par cas, qui s'est presque toujours résolu par un recul des valeurs du québécois de souche, au profit de l'immigrant et accommodants réclamé. Comme, à ma grande surprise, le retrait du porc des menus dans les cafétérias de la CSDM, que tous ont oublié. Des constats linguistiques aussi. Dont le vénérable Louis Bernard qui nous a rappelé que la loi 101 s'est effondrée. Un échec total de francisation. Elle a plutôt produit des effets trudeauistes, hybrides bicéphales, soit l'anglocisation de tous les québécois de souche française, en passant par les enfants des immigrants. Elle a transformé les québécois de souche en groupe ethnique, comparable aux communautés culturelles.
Puis... Mercredi, l'attention des médias s'est tournée vers la comparution du PDG de la CDPQ, Henri Paul Rousseau, devant la Commission des finances publiques. Une très belle journée qui a rehaussé la bonne humeur au Carnet, à cause du sujet favori de tous, les finances. Et qui s'est soldée par un face à face très intéressant entre deux moustachus, que nous reprendrons plus amplement au cours de la semaine prochaine.
Puis... Jeudi, la comparution d'un ancien copain de Brian Mulroney devant un certain commission parlementaire à Ottawa et qui a fait monter les enchères, de 300,000 $ versés à 500,000 $ réclamés, Attendons de voir la suite. Le tout, en concurrence avec les annonces de fermeture de d'autres usines.
Cette semaine...Les sept travaux du député, autre culbute dumontiste, la perle oubliée, le coup de stratégie, les péqouistes canadians,.

Premier... élément : Pourquoi la caisse qui a tant à coeur le bas de laine des Québécois s'est-elle autant investie dans les véhicules à risque que constitue le papier commercial ?
Deuxième... ordre de préoccupation : Combien la caisse détient-elle de papier commercial ?
Troisième... préoccupation : Quel est l'impact sur les déposants de la caisse de cette détention de papiers commerciaux là et des pertes potentielles à venir ?
Quatrième... grande préoccupation, M. le Président – je vais dire MM. les présidents et de la commission et de la caisse, ça va éviter les problèmes – est-ce que ce choix de rendement à tout prix a détourné la caisse de son mandat du développement économique ? Nous allons discuter avec vous aujourd'hui du retrait de la caisse, par exemple, dans l'acquisition de Bell : Est-ce que ça a été commandé par une trop grande implication dans les papiers commerciaux ?
Cinquième... grande préoccupation, M. le Président, quel est le rôle de la caisse dans la crise du papier commercial ? Est-ce que la caisse est une victime, un promoteur, un gardien ?
Sixième... grande préoccupation, une fois ces choses-là réglées, quelles sont les pertes que vous anticipez ?
Septième... grande question, le Protocole de Montréal, qui est une entente convenue, nous souhaitons que vous nous expliquez un peu comment ça s'est créé, comment ça s'est mis en place. Et est-ce que ce protocole-là, ou cette entente-là, est un plan de sauvetage ou un plan de camouflage ?
Commission des finances publiques
Le mercredi 28 novembre 2007, 14 h 30 - Vol. 40 N° 20
Propos... Je ne vous apprendrez rien en disant que le député responsable des affaires fiscales, peut importe de quel coté du salon bleu il siège à l'ANQ, attire toujours l'attention des Bleus. C'est particulièrement vrai pour le député Taillon, il a ses fanas très discrets qui ont toujours aux lèvres la question d'usage, tel que... «Qu'est-ce qu'il a dit Gilles, dans... »
Bon bien, finalement, il a gagné son lien vers son carnet et nos jolies pupiteuses s’affairent à rechercher et importer les documents qui nous permettent d'être informés à son sujet. C'est particulièrement vrai dans ce cas de HPR devant la commission des finances publiques. À ce qu'on m'a dit, on a importé 188,184 octets du journal des débats. Le hic... C'est que tous les volontaires pour lire ce qu'a dit le député lors de cette comparution, se défilent un à un. Bande de lâches !
Je vais être le dernier, pris au piège, pour lire tout ça la semaine prochaine et essayer d'en faire un billet. Entre temps, vous pouvez méditer un peu sur ce sommaire des sept travaux du député. Tout de même, j'ai bien hâte de voir si les oui dires sont véridiques. Il semble que HPR et la caisse ont quelque 14 milliards engagés dans les PCAA et qu'une portion de 10 % à 20 % est à haut risque, de perte. Soit plus ou moins quelques 3 milliards. À suivre...

Hausse des tarifs d'Hydro-Québec pour mieux refléter la réalité du marché, même si ces tarifs ont augmenté constamment au cours des trois dernières années Bonne mesure selon moi. Il serait approprié que le Québec ajuste ses tarifs d'électricité avec le prix moyen des autres provinces et États américains. Une hausse pourrait faire ne sorte de rembourser la dette. Avec une partie des profits, l'État pourrait donner des crédits à ceux qui n'ont pas les revenus suffisants pour payer leur facture. Des bas tarifs n'encouragent pas les gens à opter pour des énergies alternatives. Idée soumise très souvent par des groupes comme l'IEDM.
Un Blog...de Centre-Droit !
Publié par David Chrétien à l'adresse 4:34 PM - dimanche, novembre 25, 2007
Propos... Êtes-vous étonnés que le carnet de David soit en mode « peur des méchants loups » ? En mode modération ? Deux questions... Quelqu'un sait-il...
A) Qu'est-ce la « réalité du marché » ?... Sous le contrôle d'un monopole d'état, HQ, multimilliardaire ? Est-ce... 1- La fraude... 2- L'exploitation... 3- L'extorsion... 4- Les trois... ?
B) Qu'est-ce... « À ceux » qui ne peuvent payer leur facture d'électricité, comment le ministère du Revenu peut-il leur donner des crédits d'impôt, sur des montants qu'il n'ont pas payés ?
David et les copains dumontistes ne savent pas combien de courriels nous avons expédié aux reps de l'IEDM à propos des profits et des dividendes de l'HQ, dont Nathalie Elgrably, et qui sont resté sans réponse. Ils ne se doutent de rien. Ils ne se doutent pas que des chroniqueurs et leurs médias ont lavé les cerveaux de leurs lecteurs, comme des chameaux. Avec des hausses, pour exploiter encore plus les plus faibles en calculs et fiscalité.
On a déjà écrit que les hausses de tarifs de l'HQ, dans un contexte de profits faramineux, s'apparentent à de l'extorsion de masse. Qui s'en souvient ?... Tout comme chez les pétrolières.
Puis, étant donné que +- la moitié de ces profits ont été remis par l'HQ au ministère du Revenu, déposés dans le même compte que les impôts, cela revient à de l'impôt Hydro Québec sur les revenus nets des contribuables. Via le compteur d'électricité cette fois.
C'est pourtant facile à comprendre, non ? Quand même... Nous voyons pleins de gens incapables de lire, de raisonner et de comprendre l'arnaque. Ils seront exploités jusqu'à la mort. Voici donc en reprise les profits et les remises de l'HQ au ministère du Revenu, que cachent l'IEDM, Nathalie et André Caillé et qui d'autre...
Sommaire des profits et des remises de l'HQ au ministère du Revenu du Québec
Hydro Québec - Profits / Dividendes
2002 - 1,5 milliards - Dividendes 763 millions
2003 - 1,9 milliards - Dividendes 965 millions
2004 - 2,4 milliards - Dividendes 1,35 milliards
2005 - 3,8 milliards - Dividendes 2,14 milliards
2006 - 4,0 milliards - Dividendes 2,34 milliards
Total des profits 13,6 milliards
Total des remises au ministère du Revenu, 7,6 milliards...
De grâce... Quelqu'un...
Peut-il écrire à David et demander selon quel modèle économique ou financier une société d'état peut exploiter honteusement les gens comme ça ? C'est à dire... Effectuer des hausses de tarifs durant une période ou les profits sont milliardaires et en hausse. Au lieu de baisser les tarifs ou de procéder à des ristournes aux abonnés.
L'Hydro Québec de René Lévesque c'est quoi ? Une société de production et de distribution de l'électricité pour le bénéfice de ses abonnés ? Ou bien le deuxième ministère du Revenu du gouvernement du Québec ?
«Une hausse pourrait faire ne sorte de rembourser la dette. Avec une partie des profits (David Chrétien) »
Quelqu'un sait-il...
Pourquoi augmenter les tarifs d'électricité, un prélèvement sur le net des revenus de 3,8 millions d'abonnés, pour rembourser une dette ? Au lieu d'augmenter les impôts, un prélèvement sur le brut des revenus de 4,5 millions de travailleurs, pour rembourser une dette ?
Non mais... C'est quoi cette connerie de rembourser une dette en période de bas taux d'intérêts ? Lorsque, sans rien faire, la dette perd de son importance et de sa valeur dans le temps, à cause des variations du PIB et de l'inflation.

La ministre de l’Immigration a elle aussi des visées anticonstitutionnelles
Dans une note secrète au Conseil des ministres révélée par le Journal de Montréal, la ministre de l’Immigration Yolande James caresse l’idée de rendre obligatoire pour certains immigrants d’aller vivre en région, leur retirant ainsi le droit fondamental de la libre circulation.
Cette idée est bien plus sévère que le retrait du droit d’éligibilité aux immigrants refusant d’apprendre le français ! L’article 6 de la Charte canadienne des droits et libertés stipule que « tout citoyen canadien et toute personne ayant le statut de résident permanent au Canada ont le droit de se déplacer dans tout le pays et d'établir leur résidence dans toute province ».
Pourtant, aucun média francophone ne s’est indigné de cette nouvelle, ou n’a cherché à questionner la ministre à ce sujet. Pourtant, on s'attendrait à ce qu'un gouvernement libéral soit le premier à respecter la constitution canadienne.
lundi 29 octobre 2007 - Publié par Perles politiques à l'adresse 13:54
http://perlespolitiques.blogspot.com/2007/10/la-ministre-de-limmigration-elle-aussi.html
Propos... Bien sûr. Rien de nouveau. Chaque semaine nous découvrons les effets de la méthode de l'abrutissement de masse, par omission. C'est un dérivé de la concentration des médias, télé et presse écrite, entre les mains d'une poignée de libéraux, fédéralistes à saveur trudeauiste. Cette fois c'est le droit à choisir librement le lieu de résidence, qui est piétiné. Comme quoi les libés fédés peuvent faire tout ce qu'on n'accorde pas aux souverainistes.
En plus, notez qu'ici aussi l'auteur s'est fait piéger. Il n'a pas encore trouvé comment et surtout quand, entre l'élection d'avril 2003 et mars 2007, l'immigrante et députée James, a changé son prénom de Yolanda à Yolande pour cacher son origine et faire croire à l'intégration. C'est un autre cas comme celui John Charest à Jean Charest, tant prisé par les médias qui nous abrutissent chaque jour.
Mais trop tard, nous savons tous qu'elle a prêté serment d'office dans la langue de George Bush, de toute manière.

Loi 195, un pied-de-nez à Charest et au lobby juif ?
Posted by Gébé
Le lobby juif aurait présenté au gouvernement Charest un projet en tout point semblable à la loi 195 de Pauline Marois le 11 octobre 2007, c’est à dire une semaine avant que Mme Marois dépose le sien à l’Assemblée Nationale le 18 octobre 2007 mettant en furie autant Charest que le lobby juif !
Rappelons-nous, après la victoire du PLQ le 26 mars 2007, comment le lobby juif a mal réagi suite à la décision de Charest de ne pas poursuivre la tradition des Libéraux de réserver une place à l’Assemblée Nationale à un membre de ce lobby anglophone puissant, afin de se débarrasser de son image du “parti des immigrants et des juifs”. Aussitôt le directeur du Canadian Jewish Congress réagissait à l’affront par une invitation cordiale à Mario Dumont devenu le nouveau chef de l’opposition officielle.
Or, il n’est plus un secret pour personne les liens étroits d’affaires qu’entretient le couple Marois avec des membres du lobby anglo-juif, tant au Québec qu’au Canada, qu’au USA et même avec de puissants financiers du club radical B’Nai Brith. Avec l’accession de Mme Marois à la tête du PQ, il est fort peu probable que ses stratégistes ne lui aient pas proposés de faire usage de ces relations particulières à l’avantage du parti.
Peut-être au plus ces relations n’auront promis que de faire de leur mieux pour faire travailler leur influence au sein du lobby, qui sait. Toujours est-il que le 11 octobre 2007, à l’occasion de la consultation triennale du Ministère de l’Immigration organisée cette année par la Ministre Yolande James, le lobby juif représenté par le directeur du Canadian Jewish Congress ainsi que du Canadian Jewish Immigrants Services, M. Victor Golbloom, a présenté au gouvernement Charest ce projet en tout point semblable à la loi 195 sur l’identité dont voici la description d’un journaliste du Canadian Jewish News qui a rapporté les faits : (...)
C’est assez clair comme proposition. Le lobby juif suggère une emphase sur l’identitaire de la langue française pour plaire aux Québécois et leur vendre mieux le projet, une réduction de l’immigration des musulmans remplacée par une immigration plus ciblée vers des entrepreneurs, juifs bien sûr, pour maintenir celle en déclin chez cette communauté.
Chose certaine, les “relations spéciales” de Marois lui ont finalement été utiles car il semble bien qu’elle fut mise vite au courant. C’est en moins de huit jours qu’elle et ses conseillers (Lisée-Facal) préparèrent en catastrophe la loi 195 qu’elle s’empressa de présenter à l’Assemblée National coupant ainsi l’herbe sous les pieds de Charest en même temps qu’un bon pied-de-nez au lobby juif.
C’est tout de même intéressant et même assez rigolo de lire le changement de ton et la totale éradication des signes d’ouverture aux “valeurs communes” et de la langue, du projet du lobby, dans la lettre que celui-ci et le même Goldbloom ont fait suivre après le coup de Marois: (...)
Un pied-de-nez.
http://peuplequebecois.wordpress.com/2007/11/06/loi-195-un-pied-de-nez-a-charest-et-au-lobby-juif/
Propos... Si vous ne saviez pas comme nous qu'il y avait, le 11 octobre, présentation d'un autre projet de loi sur l'identité, en tout point semblable à celui de la cheffe Marois, cette fois par le lobby juif anglophone canadian, prenons cette occasion de remercier le blogueur « Gébé » d'avoir affiché ce billet info. Merci le patriote Gébé.
Notez les pointillés entre parenthèse. Cela veut dire que deux reportages que nous ne pouvons lire, dans la langue de Gorge Bush, sans version française, ont été retranchés ici. Ils contiennent les détails du projet rapportés par le média anglo-saxon. Si cela vous intéresse quand même, suivez le lien vers le blogue du patriote Gébé.

La loi 101 a tout bailinguisé...
L'ancien candidat au leadership du PQ et haut fonctionnaire, Louis Bernard, a déploré le fait que la loi 101 ait raté son objectif principal qui état de faire du Québec un «pays ostensiblement français». Il a dénoncé «la grande illusion» de ceux qui croient que le Québec est un pays français. Les forces naturelles, a-t-il affirmé, jouent en faveur de l'anglais. La solution, a-t-il conclu, réside en la souveraineté du Québec
Métro - mardi 25 novembre 2007
Propos... C'est peut-être maintenant, quatre ans après la défaite du PSQ à l'élection d'avril 2003, que l'opposition des indépendantistes à sa réélection prend toute sa signification. Ces derniers ont peut-être calculé et prédit justement, avant nous tous, que le PSQ avec Bouchard et Landry était tout, sauf un parti qui allait faire du Québec un État de langue française. Plutôt un État bailingue, comme les immigrants, tant souhaité par PET.
Là c'est confirmé. Voilà la récolte, après deux mandats du PSQ au gouvernement du Québec, selon Louis Bernard. Pendant lesquels le PSQ n'a pas renforcé la 101, effectué deux coupures au budget de l'OLF et adopté une loi 104 dans laquelle la langue de communication française, avec le gouvernement, n'a pas été activée.
Et puis... Qui se souvient de Louise Beaudoin ? Alors ministre responsable de la Charte de la langue française, elle s'occupait de la langue d'usage des pilotes d'Air France. Pas de la langue anglo-américaine obligatoire pour tous les enfants de la loi 101, à l'école et collège français. Ni de l'obligation de cette langue sur les lieux du travail, à Montréal.
La solution réside peut être dans la souveraineté, mais certainement pas avec le PSQ. Ils ont déjà échoué et prouvé qu'une fois au pouvoir ils ne font rien en matière de langue et culture française. D'ailleurs, tous les péquistes sont bailingues, donc d'appartenance canadian. Anglocisés comme les franco-ontariens et les immigrants. Pour eux, encore aujourd'hui, remplacer le français par la langue de l'unité canadian, ne leur cause aucun problème. Comme le responsable du blogue du PQ.
D’ailleurs, on ne les voit jamais dans les forums ou manifestations en faveur de la langue de la nation québécoise française. Il ne reste plus que les indépendantistes, les seuls qui défendent l'identité française du Québec et qui peuvent atteindre l'objectif. S'ils sont capables de se regrouper en un parti politique, un jour. Sur ce...
Bonne fin de semaine...
Libellés : Pele-mele
De... sp et al... le... 30.11.07, ,